Il était une fois, un homme, qui rêvait par-dessus, de devenir intégralement soumis à sa jeune et jolie femme. Son envie de soumission était telle, qu’il était prêt à faire tous les sacrifices nécessaires pour y arriver, si bien q’ un jour il osa en parler à sa compagne, qui passée le premier effet de surprise, fut enchantée à cette idée.
Ils décidèrent alors de mener une vie gynarchiste basée sur la soumission de l’homme sous l’autorité de la femme.
L’homme qui prenait son rôle très à cœur, se comportait de la meilleure façon qu’il soit en étant très gentil et en obéissant aux moindres désirs de sa Domina, si bien que elle, touchée par tant de gentillesse et de dévotion, mettait peu à peu de côté son rôle de dominatrice, en devenant plus complaisante et attentionnée envers lui, au point finalement de revenir à une situation de couple tout à fait classique.
Et au final, l’homme qui désirait devenir soumis plus que tout, ne l’était plus, ce qui eu comme conséquence de l’agacer et de lui faire retrouver très vite ses mauvaises habitudes de « male » dominant, et mis fin par la même au lien de Dominatrice/soumis qui les unissaient, au profil d’une relation plus classique.
Ce résultat est-il la conséquence du comportement de l’homme, de la femme ou même des deux ?
Si l’homme n’avait pas été aussi gentil et soumis, il aurait fallu que la femme se comporte comme une maitresse encore plus sévère et exigeante, à même de le dresser et de le rendre aussi docile et serviable qu’un soumis doit l’être, et sans jamais baisser son autorité, faute de connaître la même fin que l’histoire précédente.
En conclusion, il apparaît clairement que pour qu’une relation D/s fonctionne et perdure, que l’autorité de la femme ne doit jamais vacillée et montrer de faiblesses, même par compassion pour son soumis, car au final ce qu’attendent les deux protagonistes, c’est bien d’être respectivement, soumis pour l’homme, et dominatrice pour la femme.
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